Que reste-t-il des zones d’activités le dimanche ? Quelle pérennité pour cet urbanisme temporaire, dédié à être vivant et attractif uniquement les jours ouvrables ? Ce projet photographique et éditorial s’attache à montrer une de ces zones vidées de ses consommateurs, dont la rue principale est ironiquement appelée « rue de la Californie ». Du magasin d’ordinateur aux squats, du restaurant asiatique à l’entrepôt en ruine, ce sont les fonctions de la périphérie et de l’organisation de la ville qui sont questionnées.